Retour sur le premier atelier Commerces et numériques

20 avril 2015 à la cantine Toulouse

Ce premier atelier était organisé par la Chambre de commerce et d’industrie de Toulouse (@CCI31) et la Mêlée (@La_Melee) via sa commission e-business.

Destiné aux commerçants curieux de découvrir les joies du numériques, cette première édition a abordé deux thèmes : le cahier des charges d’un site e-commerce et les moyens de paiement.

Jean-Philippe Horard (@jfiliph), Consultant Marketing et co-animateur de la commission e-business a animé les présentations et débats.

Introduction

Après une rapide présentation de la Mêlée par Edouard (@Edforzy), de la commission par Jean-Philippe et de la CCI par Jean-christophe Ramis nous avons eu droit à une croustillante mise en bouche avec les pitchs de trois startups toulousaines innovantes.

  1. Julie Tétard pour Owdo (owdo.fr) nous a parlé des iBeacons : ces petites balises colorées et connectées qui devraient révolutionner le commerce physique et créer le lien entre le magasin et le smartphone, le fameux web to store.Owdo proposera prochainement la vente d’iBeacons à un prix ultra-compétitif mais surtout une plate-forme de gestion et une appli mobile en mutualisée ou sur-mesure permettant de tirer profit de cette technologie.
  2. Aurore pour la société toulousaine Bleu Jour a présenté le Kubb (kubb.eu) : un magnifique mini PC made in Ffrance vendu par collection avec un style très “haute-couture”.
  3. Karim Oumoussa a présenté Popeline & macaron (popelinemacaron.com) : le “trip advisor” de la Mode et l’art de vivre. Le site propose une visibilité aux marques et commerçants et affiche déjà 200 boutiques ainsi que 15 000 lecteurs.

Le cahier des charges d’un site e-commerce

En prélude à l’établissement d’un cahier des charges e-commerce, Jérôme Donati pour l’agence e-commerce Creabilis (creabilis.com) a parlé stratégie de vente en ligne, multi-canal et surtout cross-canal : « 88% des visiteurs se renseignent en ligne avant d’acheter ».

Ponctué par une citation de Jeff Bezos le boss d’Amazon « Be afraid of our customers, because those are the folks who have the money. Our competitors are never going to send us money », on apprend qu’un commerçant ne doit pas tomber dans l’écueil de mettre tout son budget pour le site mais se réserver par exemple 60% pour soigner sa visibilité et son acquisition de clients (SEO, adwords, newsletters, partenariats, …).

Claire Nison  pour l’agence Cinquième dimension (cinquieme-dimension.com) nous a brossé le portrait du cahier des charges e-commerce : à quoi ça sert ? Comment le remplir ?

En 10 points clés, il doit définir le périmètre du projet et présenter les objectifs et besoins : l’entreprise, le graphisme, les fonctionnalités, le paiement et la logistique, les interfaçages, le contenu, le référencement, le planning, le budget et le suivi.

Les moyens de paiement

Eric Charpentier (payname.fr) nous a présenté le système de paiement Payname aux multiples usages : services entre particuliers, cagnotte en ligne, achat d’occasion ou paiement e-commerce. Le scoop est qu’une carte de paiement Payname va sortir prochainement.

Alain Lacour a présenté Lyra Network (lyra-network.com), leader sur le marché français de la monétique avec 130 personnes, 25 000 e-commerçants, une présence mondiale et un système de paiement pour l’e-commerce à deux visages :

  • Payzen en direct
  • Systempay le système de paiement du groupe BPCE : Caisse d’Epargne, Banque populaire et Natixis

Alain Lacour nous a offert une passionnante plongée en eaux profondes dans le monde des paiements électroniques avec ses mastodontes européens ou américains, ses mille-feuilles et ses acronymes inconnus.

Les thèmes du paiement mobile et de la guerre des wallets ont été abordés avec Paypal, Moneo, kwixo, buyster et Paylib.

En guise de bouquet final, nous avons appris que la carte bleu n’est pas une carte (sic) et que la France est le pays avec les taux de commission ecommerçant les plus bas au monde.

Pour finir, le (désormais célèbre) tweet d’Edouard à travers le hublot

https://twitter.com/Edforzy/status/590174025441267712/photo/1

Jean-François Viguier (@jfviguier) Creabilis pour la commission e-business

 

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Comment éviter d’être considéré comme spammeur


logo_altospamNous vous proposons un article de notre partenaire AltoSpam proposant un service innovant de passerelle anti-spam et serveur de messagerie sortant.

Régulièrement, nos clients nous demandent comment faire pour que les e-mails soient correctement interprétés par les anti-spams. Dans cet article, nous allons vous présenter les règles à respecter pour éviter d’être considéré comme un spammeur, notamment lors de la réalisation de vos newsletters et campagnes d’e-mailing. Ces règles sont classées en deux catégories : celles applicables au mail proprement dit et celles liées au serveur de messagerie. Dans cette liste, les recommandations spécifiques à l’emailing et aux newsletters seront suivies du caractère « * ».

1) En ce qui concerne le mail :
– Ecrivez le plus simplement possible sans caractères trop originaux. Evitez notamment de remplacer des lettres par des équivalents visuels par exemple « ! » pour « i » ou « / » pour « v ».
– Utilisez une adresse email spécifique pour l’émission des emailings et si possible diffusez sur un domaine différent du domaine habituel *
– L’adresse email utilisée pour envoyer des emails doit pouvoir recevoir des réponses et le nom de domaine doit vous appartenir. Surtout n’usurper pas l’identité d’un tiers.
– Utilisez impérativement pour vos emailings une base d’adresses de destinataires qualifiée (c’est le plus important), si par hasard une des adresses email de votre liste correspond à un spamtrap, vous vous retrouveriez immédiatement blacklisté. *
– Utilisez un codage HTML correct, surtout dans les newsletters (ne faites surtout pas du copier/coller de Word) *
–  Évitez la présence de fortes sommes d’argent dans le contenu du mail, ou les chiffres importants assimilables à de grosses sommes d’argent.
– Evitez d’intégrer dans votre email de longues URL ou des URL trop compliquées contenant des caractères spéciaux ou un trop grand nombre de consonnes successives, par exemple.
– Evitez les signatures de mail comportant des imagettes,
– Evitez trop de majuscules dans le sujet du message (ne pas mettre tout le sujet en majuscules),
– N’utilisez pas de liens non symétriques (Anchor  != URL) tel le nom du lien qui ne correspondrait pas à son pointeur (par exemple en html les codes de ce type :  <a href=http://www.toto.com>http://www.tata.com</a> ).

2) En ce qui concerne le Serveur de messagerie :
– Le serveur de messagerie doit impérativement être entièrement nommé (FQDN). Il ne doit pas s’appeler « mail » mais: « mail.domaine.com ».
– Assurez-vous que votre adresse IP pointe bien sur votre serveur de messagerie au sens Reverse DNS.  (Pour vérifier cela, faites simplement un « ping -a » sur votre adresse IP).
– La correspondance entre reverse IP et nom FQDN du serveur est la configuration idéale.
– Configurez sur le domaine utilisé pour l’expédition les IP autorisées à envoyer des emails dans les champs SPF
– Evitez d’utiliser une connexion internet de type : adsl particulier (free, sfr, orange,… ) pour votre serveur de mails. Toutes ces adresses sont dites DUL et sont systématiquement blacklistées.
– N’utilisez pas la même IP publique pour l’envoi des mailings que celle de  votre serveur de mails (afin d’éviter de bloquer sa messagerie à cause d’un emailing irresponsable) *
– Respectez la RFC 2369 qui normalise des champs d’en-tête afin de faciliter la gestion de newsletters. Ajoutez notamment les champs : « List-Unsubscribe: » et « List-Owner: » dans vos newletters. *

Si vous n’êtes pas en mesure de respecter toutes ces règles, notamment au niveau de la configuration de votre serveur de messagerie, vous pouvez aussi utiliser un relais SMTP sortant pour expédier vos emails. Pour information, ALTOSPAM propose ce type de services sous forme d’option : ALTOSPAM MailOut, qui de plus, vous assure de ne pas être vecteur de virus en contrôlant tous les messages émis par trois antivirus.

Merci à Stéphane pour cet excellent article. Référence de l’article : http://www.altospam.com/actualite/2008/10/eviter-detre-considere-comme-spammeur/ par

En complément, nous recommandons cet article du capitaine commerce : « ecommerce : Les 11 facteurs impactant la Délivrabilité »

http://www.capitaine-commerce.com/2013/02/12/33286-les-11-facteurs-impactant-la-delivrabilite/

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Grosse panne Paypal pour les sites e-commerce : perturbations dans les validations de commande

Le système de paiement Payal a connu une panne mondiale entre dimanche et ce matin provoquant une absence de réception des notifications de paiement (IPN) sur les boutiques en ligne ou un délai important entre le paiement et la notification correspondante.

Tout semble rentré dans l’ordre ce matin.

Il est recommandé de pointer tous les paiements entre paypal et Ornéa et s’assurer qu‘il n’y a pas de paiement en double ou de paiement sans commande (dans ce cas, utilisez la validation manuelle des commandes.

L’explication sur le site de paypal ici :
https://www.x.com/content/resolved-issue-receiving-instant-payment-notifications-ipns-jan-27

1) Tout d’abord, les notifications de paiement n’ont tout simplement pas été envoyés aux sites de vente en ligne :
« We are experiencing a system issue affecting Instant Payment Notifications (IPN) on the Live Site. Merchants may not be currently receiving IPNs for transactions. We are working towards resolving this issue. »

2) Puis, les notifications de paiement ont été envoyé avec un délai important, ce qui explique la validation très tardive de la commande.
« UPDATE 4: the majority of IPNs are still delayed »

3) Après résultion, paypal a décidé d’envoyer toutes les notifications qui ne sont pas passées avec un delai :
« We are also estimating that missing IPNs for transactions processed between Jan 27, 11:04 PM PST (Jan 28, 7:04 AM GMT)  and Jan 28, 10:47 AM PST (Jan 28, 6:47 PM GMT) will be delivered within the next 24 hours. »

La panne s’est terminée ce matin 9H25 GMT :
« This issue has been resolved as of Jan 29, 1:25 AM PST (Jan 29, 9:25 AM GMT). »

Si vous souhaitez un article en français voici :
http://www.generation-nt.com/paypal-probleme-paiement-actualite-1686752.html
« Des sites qui tirent parti de PayPal font état d’erreurs intermittentes dans le traitement des paiements avec la non-réception des notifications instantanées de paiement. Cela peut alors conduire à un délai pour le traitement d’un paiement. »

Pas mal de remontées sur twitter :
https://twitter.com/search?q=ipn%20paypal&src=typd

Sur notre facebook :
https://www.facebook.com/creabilis

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Voici nos nouveaux locaux

Voila c’est fait : Creabilis a investi de nouveaux locaux neufs, plus grands, plus lumineux pour mieux vous servir et vous recevoir.

Nous sommes situé à Launaguet au 2 rue Antoine Becquerel à seulement 4km de notre ancienne adresse et à deux pas de la rocade.

Le téléphone n’a pas changé, c’est toujours le 05 34 251 641.

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Bilan e-commerce 2011 : 22% de croissance, mais les petits e-marchands dévissent

Selon l’étude présentée le 30 janvier par la Fevad (La Fédération du e-commerce et de la vente à distance) l’e-commerce ne connait pas la crise, les chiffres de 2011 :

  • 30,7 millions d’internautes français ont acheté en ligne, 11% de progression.
  • Les achats sur internet s’élèvent à 37,7 milliards d’euros, 22% de plus que 2010.
  • Le panier moyen baisse de 1% sur un an à 90 € contre  91€ en 2010, mais seulement 86€ pour les fêtes de Noël.

Autre fait marquant, le nombre de sites d’e-commerce a dépassé les 100 000 boutiques en ligne, 100 400 actifs recensés exactement, soit une progression de 23%.

L’e-commerce sur mobile : le m-commerce commence à séduire de plus en plus de français. Pour les sites internet concernés par l’étude, le chiffre d’affaire sur mobile représentent 3% des ventes en ligne pour Noël et 2% sur l’ensemble de l’année 2011.

Il convient cependant de relativiser ces chiffres avec une simple division, calculons le CA  moyen par site :

2011 : 37,7 Mds/100400 = 375 k€/an

2010 : 30,9 Mds/82400 = 375 k€/an

Et oui, le chiffre d’affaires moyen par site, lui n’a pas augmenté.

Le top 15 des sites de vente en ligne français :

Toujours selon la Fevad, sur 4 ans, les sites moyens et gros (de 100 à plus de 10 000 transactions/mois) ont multiplié par 3 le nombre de transactions. Donc, à périmètre constant (le chiffre d’affaires moyen n’ayant pas bougé), il faut malheureusement en conclure que les petits sites à moins de 100 transactions/mois ont devissés.

C’est une tendance importante, les internautes se déportent massivement vers les plus gros sites, les amazon, fnac, CDiscount, La Redoute, … poussés par des budgets publicitaires colossaux. Les petits sites doivent redoubler d’effort et d’ingéniosité pour se démarquer, se faire une place face aux gros, qui sont de plus en plus gros au détriment des petits.

Chez Creabilis, nous travaillons avec une poignée de marchands de taille moyenne, mais la plupart sont des petits : les fameux sites à moins de 100 commandes/mois. Pour ceux là, les temps sont difficiles, la crise est bien là, mais ils s’accrochent, se réinventent, et nous sommes tous les jours admiratifs devant leur énergie et de leur optimisme sans faille.

Source : http://www.fevad.com/espace-presse/37-7-milliards-d-euros-depenses-en-ligne-22-par-rapport-a-2010

JF

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L’utilité d’un blog de marque ?

Les avantages du blog de marque sont colossaux :
– Opportunité de communiquer auprès de ses clients.
– Se faire connaitre au sein de la blogosphère.
– Améliorer efficacement son référencement naturel sur Google.

 

Pourquoi un blog est-il meilleur pour le SEO alors qu’il est beaucoup plus facile et interactif de monter une page Facebook ?
– Les liens externes facebook sont en nofollow, c’est à dire que facebook indique à google via un attribut html de ne pas suivre les liens : en conséquence, les liens n’ont aucune valeur pour Google.
– La taille du texte d’un statut facebook est très très limité, il est impossible de développer un argumentaire correct.
– Sur votre blog, vous êtes chez vous, vous fixez les règles. Sur facebook, vous n’êtes que locataire et donc totalement dépendant des changements de politique de Mark Zukerberg, et le le p’tit gars est plutôt joueur 😉

Ceci étant dit, du point de vue marketing et service client, il est tout à fait justifié et même ultra conseillé de créer sa page Facebook, j’aborde ici uniquement l’aspect seo.

Comment le blog de marque améliore mon référencement Google ?
– C’est facile et rapide d’écrire quelques lignes, il n’y a pas besoin de structurer et soigner la forme comme sur un argumentaire de fiche produit, le ton est plus libre et le plaisir d’écrire plus fort : la fréquence et le volume de texte produit est donc plus important que sur le site de marque. Et ça, google aime. Google apprecie les sites qui bougent, avec beaucoup de textes, de liens, de mots-clés. Bref, Google aime les blogs.
– Bien entendu, les articles des blogs vont contenir des liens en dofollow (c’est l’inverse du nofollow) vers votre site, voir des liens profonds (vers une page interne), et ça, google aime aussi.
– Attention à soigner le texte du lien que l’on appelle l’ancre, et évitez à tout prix le « cliquez ici ». L’ancre doit être variée et contenir les mots-clés principaux, en relation avec le sujet du billet. Le nombre de liens doit être raisonable entre 5 et 10 par exemple.

Je vous propose une belle illustration avec le lancement ce mois-ci du blog de Café Négril et un premier billet savoureux sur un café en grain exceptionnel provenant du Mexique.

Le meilleur logiciel de CMS pour monter un blog est bien entendu le logiciel open source WordPress, avec 54% de part de marché sur les cms selon une étude w3 Techs.

Chez Creabilis, nous pouvons monter votre blog de marque, mais surtout lui faire une beauté, c’est à dire lui designer un template sur-mesure, aux couleurs de votre marque. Quelques exemples chez Label-art avec le blog d’Elisa sur http://blog.arvibel.fr/, le blog d’1air2lune bijoux,  ou le tout récent blog des faucons pèlerins d’Albi.

JF

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Comment l’arrivée de free mobile va impacter l’e-commerce en 2012 ?

Cela n’a échappé à personne : free a révolutionné le marché du mobile avec ses deux forfaits révolutionnaires complets et pas chers. Mais quel impact sur l’e-commerce et les sites web ?

Tout d’abord, côté accès Internet 3G illimité, Free a multiplié le Fair Use (la limite d’utilisation par mois) par 3 : il est généralement de 1Go chez les concurrents, 3Go chez free.

Autre information qui vous a peut-être échappé, il est également possible d’accéder à internet en 3G avec le forfait à 2 euros : cela coute seulement 1,99€ pour un crédit de 20Mo valable 1 mois. Au-delà du crédit c’est 6 centimes/Mo. Ce forfait à 2 euros est la vrai révolution de free, car se forfait va séduire tous les réfractaires, ceux qui ont des cartes prépayés voir même aucune ligne mobile, les adolescents, la mamie du Cantal ou de l’Aveyron, etc.

Donc pour environ 4€ par mois, soit l’équivalent de quelques cafés, le grand public de masse va pouvoir envoyer 60 sms, appeler 1H et surtout surfer sur Internet.

Maintenant, passons aux usages. Il est clair qu’une fois l’accès internet en 3G enfin abordable, il faut s’équiper d’un smartphone pour bien l’utiliser : iPhone, Samsung Android pour les plus courants, mais aussi les windows phones, blackberry, …

Le premier usage de ces nouveaux entrants est bien sur la communication avec sa tribu : sms, mms, mais aussi email sur mobile et messageries intégrées (WhatsApp, Apple Messages, Msn Messenger, …) mais aussi via le réseau social tout bleu : facebook bien sur.

Le second usage est le jeu, un petit angry birds pour passer le temps, c’est tellement plus hype que le solitaire ;-).

Puis viens la consommation d’information : actualités, bourse, e-banking, twitter et c’est là que l’on devient accro à son mobile et que le temps par jour passé sur ces petites bebêtes explose et prépare un terrain favorable à l’e-commerce que l’on peut déjà appeler le m-commerce.

Oui, car on a vite fait de passer de la consommation passive d’informations ou du divertissement à l’acte d’achat : ça commence bien sur par un morceau sur iTunes, une application à 2€ (tiens, le retour de ce prix psychologique) sur l’AppStore ou l’android market. Puis c’est au tour d’un billet sur Voyages Sncf, un iPhone d’occasion sur Le bon coin, et enfin, un vrai achat d’impulsion : par exemple sur vente privée ou La Redoute : le m-commerce est lancé : l’acte d’achat est tellement plus rapide,fun, addictif, cool, facile, tendance, sensuel (rayez la mention inutile) sur un smartphone.

Mais alors, en quoi Free change la donne du m-commerce ?

Tout simplement car le volume critique de mobinautes justifiant le développement d’une boutique mobile va être atteint courant 2012 avec l’explosion des abonnés que nous prévoyons.

En effet, le seuil de rentabilité est depuis longtemps atteint pour les géants de l’e-commerce, que représente 10 ou 20 K€ pour développer une appli ou un site mobile pour une boutique faisant plusieurs millions de CA par mois ? Pas grand-chose, mais pour une tpe, un pure player, un e-marchand de niche, un commerçant de quartier ce budget est énorme et a justifié jusqu’alors de refuser en bloc l’idée même d’investir l’Internet Mobile.

Par contre, si l’envie (et non le besoin) de se lancer elle est bien réelle, surtout dans la période d’euphorie qu’est la découverte de son premier iPhone, iPad ou autre Samsung Note et les sensations nouvelles et naturelles de la navigation tactile (certains se reconnaitrons) : nous le constatons toutes les semaines en discutant avec nos clients e-marchands.

C’est je crois le bon moment de se poser la question de sa stratégie mobile, de se renseigner sur les technologies, les perspectives de CA et les budgets. Faut-il choisir entre site mobile ou application ? Le paiement sur mobile, ça se passe comment ? Va-t-on devoir tailler dans le gras du formulaire d’inscription ? Ma newsletter : ça donne quoi sur un écran mobile ? C’est quoi un QR Code ? Comment et ou se faire connaitre ?
Chez Creabilis, nous sommes dans cette dynamique, nous sommes là pour répondre à ces questions et affiner avec vous votre stratégie mobile, vous conseiller, vous accompagner et bien entendu, développer votre site ou application mobile. Alors, et si on en parlait ?

JF.

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Livraison : Les nouvelles obligations du e-marchand

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On s’en souvient, la nouvelle avait généré un tumulte auprès des cyber marchands Français, et avec raison.

L’émergence de nouvelles directives européennes avait pour principale motivation  d’homogénéiser les règles à l’échelle Européenne des différents sites marchands compte tenu notamment des interprétations outre Rhin des obligations des marchands.  Beaucoup craignaient pour la survie de leur activité et du devenir de leur site d’e-commerce. Tout Creabilis s’était mobilisé en mars 2011 en informant tous nos marchands et en incitant à signer la pétition.

Après la renégociation menée le 23 juin dernier, le texte avait été remanié pour aboutir à un consensus levant notamment la contrainte la plus astreignante et contestable : le remboursement à charge du marchand des frais de retour.

La nouvelle directive votée récemment n’est ni plus ni moins que l’instauration des dispositifs votées à savoir « l’allongement des délais de retour de 7 à 14 jours ».

Le délai de mise en oeuvre du à la nécessaire adaptation au droit français, laisse toutefois un répit jusqu’au plus tard à la fin de l’année 2013 pour tout les sites d’e-commerce français.

Fort est de constater que bon nombre d’acteurs majeurs du secteur ont déjà intégré cette mise en conformité (cf la redoute) . Cette anticipation permet de faire valoir cet argument comme un véritable atouts différenciateur du site face à ses concurrents aux yeux du consommateur.

Il est indéniable que la phase de maturité dans laquelle est entrée le secteur de l’e-commerce, la relation au consommateur entrera pour une bonne partie dans la capacité d’un e-commerçant à se différencier de ses concurrents. Plus que partout encore, l’e-commerce implique une recherche permanente d’améliorations afin d’anticiper et évoluer plutôt que d’être perçu comme simple mouton, et dans ce cas, de subir un cadre législatif.

Cette veille permanente et la recherche des atouts différenciateurs fait partie intégrante du conseil que nous prodiguons chez Creabilis pour nos marchands au quotidien.

Alors, prêt à sauter le pas et passer à 14 jours de rétractation ?
Nous serions ravis d’échanger avec vous pour connaitre votre sentiment à ce sujet.

 

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